Tendinite du poignet

Douleur au poignet qui vous empêche de faire vos activités quotidiennes, de travailler efficacement ? Vous vous reposez mais dès la reprise, la douleur réapparait aussitôt ? Et si c’était une tendinite du poignet ?

L’articulation du poignet est très sollicitée par nos multiples activités quotidiennes. Les tendinites du poignet ou tendinite De Quervain sont donc très fréquentes surtout lorsqu’elles sont aggravées par certains métiers. Elles peuvent prendre des formes légères ou plus graves en allant d’une petit gêne à une douleur invalidante.

L’ostéopathie peut vous aider à soulager une tendinite du poignet dans le cadre une prise en charge pluridisciplinaire. Oui, mais comment ?

« Tendinite » du poignet, qu’est-ce que c’est ?

La tendinite De Quervain est une inflammation d’un ou plusieurs tendons situés dans le poignet et la main. Le tendon est la partie qui relie le muscle à l’os. Ils sont nombreux à se situer dans cette zone en particulier et les symptômes peuvent donc différer en fonction des tendons atteints.

Cependant une douleur située au niveau du tendon ne veut pas dire forcément dire que le problème est au niveau du tendon. En effet, d’autres structures peuvent être touchées et provoquer des douleurs semblables à la tendinite.

En cas de problème avec la gaine du tendon (Le tendon va bien mais la gaine qui lui permet de coulisser est atteinte) on appellera cela une ténosynovite, ou inflammation de la gaine des tendons.  On peut aussi avoir un conflit entre le tendon et une autre structure : C’est le cas dans le « syndrome de l’essuie-glace », que les coureurs connaissent bien, où le tendon n’est pas atteint, mais frotte contre l’os ce qui entraîne la douleur.

Pour toutes sortes de raisons différentes, le poignet peut subir divers petits traumatismes qui vont avoir des conséquences. Le traitement mis en place peut donc être différent en fonction du problème et de la cause du problème.

Qu’est ce qui provoquer une tendinite du poignet ?

Les causes de tendinites sont très variées.

Le risque est accru par la pratique de sports asymétriques notamment concernant les sports de raquettes : tennis, tennis de table, badminton, etc. Il est d’ailleurs très importants d’instaurer des paliers de progression dans tous les sports que vous pratiquez : Vouloir aller trop haut, trop fort ou trop vite va générer un stress sur le tendon qui peut très vite basculer vers la tendinite.

Certaines activité de travail qui nécessitent des sollicitations excessives du poignet ou encore des gestes répétitifs à une cadence plus ou moins contraignantes, peuvent aussi entraîner un risque accru de ce tendinopathie.

Le technologie numérique est également à l’origine de nombreuses tendinites. En effet, l’utilisation importante de l’ordinateur (clavier, souris…), ainsi que l’abus de sms, peuvent être des causes non négligeables de douleurs du poignet.

Quels sont les symptômes ?

Les symptômes d’une tendinite du poignet peuvent se manifestent sous plusieurs formes :

Douleurs localisées au niveau du poignet, lors de la palpation et/ou lors du mouvement.
Raideur du poignet et douleur au réveil.
Faiblesse musculaire ou incapacité d’effectuer certains mouvements
Gonflement localisé du poignet avec parfois une sensation de chaleur et de rougeur.

Quelle prise en charge efficace pour soulager la tendinite du poignet ?

Votre ostéopathe va tacher de determiner l’origine et cause de votre tendinite lors de son diagnostic ostéopathique. Il vous proposera un plan d’action avec des solutions à mettre en place immédiatement après la consultation pour vous soulager le plus rapidement possible :  Conseils en ergonomie pour votre poste de travail, alimentation, étirements, séance de sport « intelligentes »…

L’ostéopathie vous aider à soigner votre tendinite, mais le premier acteur de votre santé c’est vous ! Et pour cela, quelques bons réflexes à avoir au quotidien :

1. L’alimentation
Privilégier une alimentation dite alcalinisante : légumes, légumineuse, fruit, viande maigre. Il est nécessaire d’éviter d’acidifier l’organisme par la dégradation digestive de certains aliments : viande rouge, soda, café, alcool, produits laitiers, farine blanche, sel…

Proposez un environnement propice à la réparation et au bon fonctionnement de votre tendon. S’il se retrouve dans un environnement acidifié, votre corps va devoir lutter contre cette acidité et donc mettra plus de temps à réparer votre tendon.

Il est aussi utile de manger du bon gras. Les graisses sont essentielles au bon fonctionnement du corps et du système nerveux. Les oméga 3 par exemple ont des vertus anti-inflammatoires et nous sommes presque tous en carence.

Vos tendons vous diront merci si vous mangez des sardines, du maquereau, de l’huile de noix, de l’huile d’olive ou que vous optez pour des gélules d’oméga 3 en supplément par exemple.

2. Le citron
Un demi-citron pressé dans de l’eau tiède ou froide, tous les matins à jeun pendant 2 mois. Ce remède de grand-mère stimule votre système immunitaire, réveille et nettoie votre système digestif et surtout votre foie. C’est un anti-inflammatoire et un anti-acide naturel !

Attention non recommandé chez les personnes en acidose tissulaire.

3. Une bonne hydratation
Vous perdez en moyenne 3 litres d’eau par jour, la moitié est apporté par l’alimentation, l’autre moitié doit être apportée par l’eau ou les tisanes que vous buvez entre les repas.
L’apport d’eau est modulée entre l’activité et la température (entre 1,5 et 3L).

Votre tendon a besoin d’eau pour renouveler la sienne, qui lui vitale à sa guérison.

4. Un vrai échauffement !
Un des facteurs de risque pour vos tendons est de faire son activité sportive très fort et rapidement. Or l’échauffement est essentiel pour que votre corps reste en bonne santé.

On ne fait que vous le répéter mais l’échauffement prépare vos muscles et vos tendons à l’effort pour leur permettre d’exprimer leur plein potentiel de manière la plus productive possible. Son but est de préparer et faire monter le système en température pro-gre-ssive-ment ! On recommande 15 minutes d’échauffement quand la température extérieure est au alentours des 20 dégrés. Une vingtaine de minutes quand il fait plus froid pour que le passage entre l’échauffement et l’entrainement se fasse de manière fluide et sécuritaire.

5. Est ce qu’il faut s’étirer ?
Oui, à condition d’effectuer les étirements à distance des entrainements, ni après l’échauffement, ni après une activité intense ou prolongée.

On fait attention à ne pas confondre étirements et assouplissements. Ces derniers doivent être réservés à des séances dédiées.

6. Cataplames d’argile verte
Vous trouverez l’argile verte en pharmacie ou parapharmacie. En tube tout prêt et à mélanger avec de l’eau. Appliquer une couche d’un bon centimètre d’épaisseur sur la zone qui vous fait souffrir, recouvrez d’une bande gaz ou de cellophane pour ne pas tacher et laisser agir jusqu’a ce que l’argile sèche. Jetez l’argile et surtout ne la réutilisez pas, elle est chargée en toxines. Rincer à l’eau.

7. Homéopathie et phytothérapie
En homéopathie : ruta graveolens 7ch + Bryonia 9ch + Rhus Toxicodendron 9ch, ainsi que arnica montana 9ch.

En phytotérapie, l’arpagophytum, la reine des prés, feuilles de cassis ou le curcuma font parties des nombreuses plantes au propriétés anti-inflammatoires. A prendre en comprimé ou en infusion.

On peut réaliser un mélange d’huiles essentielles de gaulthérie, menthe poivrée et romarin camphré avec de l’argile verte, pour appliquer un emplâtre sur votre tendon (3 gouttes de chaque).

Une inflammation située au niveau du poignet peut rapidement rendre l’utilisation du poignet très douloureux. Ne restez pas avec votre douleur et venez consulter afin que nous puissions mettre en place des solutions efficaces ensemble.

Pour plus des informations complémentaires, n’hésitez pas à prendre contact : ICI


>Le suivi ostéopathique se fait souvent en complémentarité avec des séances de rééducation avec un kinésithérapeute lors des tendinites avérées.

>Votre médecin généraliste peut vous prescrire une attelle afin mettre votre articulation au repos et diminuer vos douleurs.

Voiture et mal de dos

Sciatique, raideurs lombaires, douleurs dans les cervicales… Nous sommes nombreux à souffrir lors de longs trajets en voiture. Quelques petits conseils pour trouver votre position idéale au volant…
      

Pourquoi notre dos est douloureux en voiture ?

Les lombaires, situées dans le bas du dos, sont les plus sensibles aux positions prolongées. Lorsque l’on est assis en voiture, nos jambes sont pliées au niveau des genoux et le haut du corps est uniquement supporté par le bas du dos et par le bassin. Les jambes ne supportent aucun poids contrairement à la position debout ou à la marche. La position assise a tendance à « tasser » notre colonne vertébrale : Les disques intervertébraux sont compressés et les muscles du bas du dos doivent prendre le relais pour maintenir la position en se contractant davantage
Maintenir une position assise trop longtemps n’étant pas naturel, on a tendance à s’avachir contre le siège. La colonne vertébrale prend alors plutôt la forme d’un « C » au lieu du « S allongé » qui est normal lors de la position debout.
Il est donc important de bien régler son siège afin qu’il soit à la bonne hauteur et à la bonne profondeur pour que le dos reste bien droit.

Comment bien se positionner au volant ?

Quelques réglages sont donc obligatoires avant de prendre la route.

1. Régler son siège et son volant

L’intérêt est de faire supporter moins de poids à la colonne vertébrale et davantage au dossier du siège. Afin de régler son siège et son volant à la bonne hauteur et à la bonne longueur il faut en premier lieu être détendu avec le dos suffisamment droit pour être collé au dossier. Vous devez pouvoir tenir le haut du volant  sans décoller les épaules du siège et vos pieds doivent toucher les pédales sans que vous n’ayez besoin de bouger le bassin. Afin d’éviter que la jambe gauche soit trop en extension lors du débrayage, il peut-être utile d’avancer un peu l’assise du siège.

Les accoudoirs doivent être réglés à la même hauteur pour conserver le dos droit. Veillez donc à ne pas vous appuyer de manière prolongée avec votre coude à la portière, cela engendre un déséquilibre et une asymétrie pour votre dos.

2. Régler correctement ses rétroviseurs

Comme pour la position de conduite, il faut aussi penser à régler ses rétroviseurs pour éviter de se contorsionner à chaque utilisation. Ainsi le rétroviseur intérieur doit vous laisser voir la vitre arrière et les rétroviseurs extérieurs doivent permettre de voir les poignées des portes arrière tout en gardant le cou droit.

3. Faire attention à sa position pour reculer

Il est important d’être précautionneux lorsque l’on doit passer la marche arrière. C’est en effet lors de ce mouvement que les automobilistes se bloquent le dos ou le cou le plus régulièrement. Afin d’éviter les torsions de buste, on peut avancer le siège pour se rapprocher des pédales et s’assoir en biais.

Ce conseil est aussi valable pour le passager avant qui a besoin d’interagir avec les passagers arrières, notamment dans la relation parent-enfant. Pensez au double rétroviseur intérieur pour les plus petits !

Attention aux sièges trop mous: ils donnent une sensation de confort mais le manque de maintien génère tensions et contractions des muscles du dos. Un siège ferme aux rebords maintenant bien plus le buste dans les virages.

Quels sont les bons réflexes ?

Comme dit ci-dessus, la position assise prolongée n’est pas agréable pour le corps. Le premier bon réflexe à avoir est de bouger en restant assis. On peut effectuer de légers mouvements simples comme décoller les fesses du siège, en rentrant le ventre, basculer  le bassin d’avant en arrière et de droite à gauche. Contracter régulièrement les abdominaux en se grandissant fait aussi beaucoup de bien.
Le but est de limiter la pression imposée à vos disques intervertébraux.

Ces mouvements ne sont pas toujours suffisants, c’est pourquoi il est conseillé de faire une pause de 15 minutes minimum toutes les deux heures. Profitez-en pour marcher et faire quelques exercices doux d’étirements pour vous détendre. N’hésitez pas à augmenter la fréquence ou la durée de ces pauses si les douleurs ou les gênes sont plus importantes.

L’autre bon réflexe concerne le soutien lombaire. Un siège bien réglé ne doit ni former un creux ni une bosse dans le bas de votre dos. Certaines voitures sont équipées d’un siège avec réglage modulable pour les lombaires, si ce n’est pas le cas il suffit juste de récupérer un coussin à caler dans le bas de votre dos. Inutile d’en acheter un spécifiquement dans le commerce, essayez prioritairement ceux que vous avez déjà. Certains vont préférer les coussins un peu mous, d’autres plus durs ou encore en micro-billes… peu importe du moment que vos lombaires soient bien calées et que vous soyez à l’aise pour conduire.

Attention, on pense à bien vérifier ses réglages habituels une fois que le coussin est mis en place… surtout les rétroviseurs !

Comment sortir de sa voiture et décharger son coffre sans se faire mal ?

Pour éviter le mal de dos, il faut aussi avoir les bons gestes pour sortir de sa voiture.

Le mieux est de sortir d’abord les deux jambes pour s’asseoir perpendiculairement au véhicule, puis se relever. Attention cette manière ne convient qu’aux véhicules dont le plancher est relativement haut (4×4,  monoplaces…). Pour les citadines, au plancher plus bas, il faut prendre appui sur le pavillon et le volant puis sortir une jambe après l’autre, en s’aidant des bras.

Dans tous les cas, il faut éviter au maximum la rotation du buste pendant l’effort.

Concernant le déchargement du coffre, mieux vaut attendre un peu avant de l’effectuer si le trajet a été long. Privilégiez quelques étirements et un peu de marche avant de vous atteler à la tâche.

Concernant les charges lourdes, pensez à garder un main en appui sur le montant du coffre lorsque vous ramenez la charge du fond du coffre vers vous. Pliez ensuite les genoux en gardant le dos bien droit afin de soulever la charge en la plaquant le plus possible contre vous.

Encore une fois, les rotations de buste sont interdites !!!

Pourquoi consulter votre ostéopathe ?

Un bilan ostéopathique pourra vous aider à éliminer les compensations déjà existantes dans votre corps. Que votre douleur soit aiguë ou chroniques , votre ostéopathe pourra vous soulager tout en vous donnant des conseils personnalisés afin d’éviter les rechutes.  Le travail de prévention est nécéssaire, nous passerons donc en revue les exercices physiques, les étirements et les règles d’hygiène de vie principales qui peuvent vous permettre de conduire dans les meilleurs conditions.

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à prendre contact : ICI


>Les voitures hautes facilitent l’installation à bord, mais sont plus fermement amorties pour leur éviter de trop pencher en virage. Rares sont les 4X4 et SUV confortables.

>Attention aux coupés ou voitures trois portes: ils imposent de se contorsionner pour attraper la ceinture.

>Des options peuvent vous aider: un siège à réglages électriques, une caméra de recul, la boîte automatique…

>Epargnez votre dos en entretenant régulièrement votre véhicule : La qualité des amortisseurs se ressent directement dans le bas du dos. S’ils sont très fermes, les moindres impuretés de la route se répercuteront à l’intérieur de l’habitacle.

Libérer ses émotions

Tout au long de la vie nos émotions surgissent et peuvent même nous submerger. Nous éclatons de rire, pleurons ou ressentons de la colère… et nous contenons parfois ces émotions sans même nous en rendre compte alors que notre corps lui, les garde toujours en mémoire.

L’ostéopathie traite le corps… mais pas que !

La plupart des individus savent que l’ostéopathie peut soulager les douleurs liées aux os, aux muscles et aux articulations tandis que son efficacité pour traiter certaines difficultés psychiques est, elle, beaucoup moins connue. On appelle ça l’ostéopathie somato-emotionnelle.

Le traitement ostéopathique se base donc sur une vision holistique du corps humain, c’est-à-dire qu’il le prend en compte dans sa globalité. En respectant cette vision, on ne peut absolument pas dissocier le corps de l’esprit. Le psychisme influe d’ailleurs facilement sur le corps du patient : Qui n’a jamais eu le transit un peu dérangé ou des remontées acides inhabituelles juste avant un gros évènement stressant…?

Les émotions peuvent donc modifier le comportement d’un individu de façon temporaire ou sur une durée plus longue. La modification du comportement entraine également une modification de l’adaptabilité au stress et ainsi apparaissent des désordres physiques et psychologiques.

« J’ai mal au dos depuis plus de 15 ans, j’ai n’ai jamais eu d’accidents physiques, mais la douleur revient très régulièrement, je ne comprends pas ! » ou encore « J’ai toujours eu des raideurs en haut du dos, je pense que je suis fait comme ça c’est tout. » Quel ostéopathe n’a jamais entendu ce discours ? Le corps compense, réagit toujours de manière à souffrir le moins possible, et s’installe dans cette situation parfois pendant de très longues années.

Comment fonctionne lostéopathie somato – emotionnelle ?

Une émotion est une réaction à la réalité extérieure qui va être ressentie dans le corps. Elle peut être aussi une réaction à un vécu intérieur comme des pensées ou à l’imaginaire. L’esprit va utiliser le système nerveux du corps humain comme système d’information des émotions pour les traduire physiquement sous différentes formes : par exemple l’activation des muscles du visage pour sourire quand on est heureux ou l’activation des glandes lacrymales qui provoqueront les pleurs quand on ressent de la tristesse.

L’émotion marque son empreinte directement dans les cellules qui composent nos tissus. Le corps les mémorise et s’adapte au fil de la vie. Nous traitons donc un patient avec son histoire, ses traumatismes physiques et psychologiques et non pas un simple motif de consultation.

En Ostéopathie nous accompagnons l’ensemble des tissus composant le corps à l’aide de nos mains et de nos connaissances anatomiques (Os, articulations, ligaments, muscles, visceres…). Le but est de permettre d’aider le corps à retrouver sa liberté et aider son homéostasie qui correspond à sa capacité à s’autoéquilibrer.
Nous associons donc naturellement l’écoute des mots pendant le temps de l’anamnèse en début de consultations et celle des tissus pendant le temps du traitement.

Le corps s’adapte constamment, il compense, mais il n’a pas toujours la capacité de gérer des émotions trop vives. Nous travaillons donc le plus souvent dans le but d’extérioriser les tensions internes du corps liées aux émotions « négatives ». Il est évident que les emotions « positives » agissent aussi sur le corps. Ces dernieres ont simplement un impact plus positif : une posture plus détendue, une réduction du stress et de l’anxiété… qui vous fait souvent oublier les petites douleurs du quotidien.

Nous nous concentrons donc sur ces émotions négatives, plus ou moins récentes qui ont un impact sur notre corps en créant des tensions physiques. Ce peut être par exemple, une modification de votre posture, des douleurs musculaires ou articulaires, des problèmes digestifs, maux de tête, dépression… C’est ce qu’on appelle la somatisation.

Quand un événement traumatique survient, notre mental essaye du mieux qu’il peut de le gérer. S’il y parvient, il n’y a pas de phénomène de somatisation. Dans le cas contraire, cette somatisation peut être invisible pour patient car elle sera complètement inconsciente. On en prends souvent conscience d’ailleurs quand elle refait surface lors d’un nouvel événement négatif et émotionnel.

Ainsi, certaines expressions sont significatives telles que : « en avoir plein le dos », « avoir la boule au ventre », « avoir quelque chose / quelqu’un qui nous prend la tête ».  Ces dernières traduisent de façon imagée le processus de somatisation.

Quels liens entre organes et émotions ?

En ostéopathie, on sait que toute perte de mobilité naturelle des organes induit des dysfonctionnements physiques et/ou psychiques. Ainsi, de la même manière, des états émotionnels peuvent être source de « blocage » d’organes et empêcher leur bon fonctionnement.

On peut associer certains organes avec une ou plusieurs émotions plus susceptibles de les impacter :

  • Poumon : Tristesse, Deuil
  • Foie : Colère
  • Estomac : Inquiétude, Soucis
  • Rein : Peur
    Etc.

L’ostéopathie somato-émotionnelle va permettre, grâce à des manipulations douces, la libération des tensions générées par les émotions et par la même occasion libérer le choc émotionnel refoulé dans l’inconscient.

L’ostéopathie cherche donc autant la libération du corps que celle de l’esprit.

« Le corps n’oublie jamais rien. » Bessel van der Kolk

Intérêt de la prévention et du travail pluridisciplinaire

Ce travail somato/ostéo permet de débusquer derrière nos blocages physiques (migraines, gastro, insomnies, vertiges), les verrous émotionnels qui nous empêchent d’avancer et de nous sentir bien. Le mieux est bien sûr de ne pas attendre que les douleurs s’installent dans le corps et soient trop importantes pour en prendre soin : vous êtes les acteurs numéro 1 de votre propre santé !

Les maux du corps traduisent ce qui a du mal à être dit par la parole. Il est donc important de s’entourer des professionnels de santé qui vous correspondent. La confiance que vous placez dans votre thérapeute est aussi importante que son savoir-faire.

Il est cependant à noter que l’ostéopathe ne peut pas et ne doit pas analyser les dires du patient commeun psychologue ou un psychothérapeute. Son travail est de ressentir sous ses mains une libération tissulaire pendant que le patient verbalise ses émotions. Sa pratique est donc toujours douce et non intrusive dans le respect du patient et de son vécu.

Parfois, le travail à faire est trop important et trop persistant, votre ostéopathe vous renverra donc vers un suivi avec un psychothérapeute pour une meilleure prise en charge.
A noter que la psychothérapie et le traitement ostéopathique peuvent être menés de concert pour poursuivre et le consolider les résultats et le bien-être obtenu.

Plus d’informations et prise de rendez-vous : ICI


> Cette pratique se situe au carrefour de l’ostéopathie, de la médecine énergétique chinoise et de la somato… Basée sur une cartographie très précise, elle se fonde sur une relation entre les vertèbres et les organes, via le système neurovégétatif.

>Votre ostéopathe peut également mettre à disposition d’autres outils de travail en vous renvoyant vers d’autres professionnels de santé : Hypnothérapeute, Sophrologue, Reflexologue, Acuponcteur, Art-thérapeute…

Sciatique et sciatalgie

De nombreux patients pensent parfois souffrir, à tort, d’une sciatique. Mais quels sont vraiment les symptômes de la sciatique et par quoi peut-elle être causée ?

Dans le langage courant, on attribue souvent le nom de sciatique à une douleur aigüe suivant un trajet précis partant du bas du dos ou de la fesse, suivant l’arrière de la cuisse, le mollet et éventuellement le pied. Cependant, ce type de douleur peut être dû à des causes différentes et donc faire l’objet de prises en charges différentes.

Comment reconnaitre la sciatique ?

La sciatique est une inflammation du nerf sciatique qui est le plus gros nerf du corps. Ce nerf est très important car il permet la contraction d’une grande partie des muscles du membre inférieur. Il est impliqué dans toutes les activités quotidiennes dont la marche, le passage de la position assise à debout et vice versa, la montée ou descente des escaliers, etc. En plus de la motricité, il s’occupe également de la sensibilité de la jambe.
La plupart du temps, la douleur de la sciatique est unilatérale c’est-à-dire soit à droite, soit à gauche. Elle est caractérisée par une douleur qui irradie le long de la jambe sur tout le trajet du nerf : région lombaire, fesse, arrière de la cuisse et du mollet et se termine dans le pied.

Elle est amplifiée à la toux, aux changements de positions, aux éternuements ou en allant à la selle et peut s’accompagner de fourmillements, d’engourdissements et/ou d’une faiblesse musculaire.

Cette douleur s’arrête au niveau du genou, on parle alors de sciatique tronquée ou plus généralement de sciatalgie.

Lors d’une consultation chez votre médecin généraliste, celui-ci pourra vous prescrire des anti-inflammatoire afin de vous soulager. Cependant ces derniers ne sont parfois pas suffisants car ils agissent sur la douleur et non pas sur la cause du problème, à savoir l’irritation du nerf sciatique.

Quelles sont les causes de la sciatique ?

Dans les faits, il existe deux termes pour désigner des douleurs qui se ressemblent : sciatique et sciatalgie. La douleur provient dans les deux cas du nerf sciatique mais les raisons de cette souffrance sont différentes.

On différencie donc deux causes : radiculalgie et syndrome tronculaire.

Radiculalgie : La sciatique est une radiculalgie du nerf sciatique, cela signifie dans ce cas que c’est le nerf qui souffre, en général car il est compressé au niveau de sa racine.
La racine d’un nerf est la partie qui émerge de la moelle épinière. Un nerf à plusieurs racines qui sont nommées en fonction du niveau vertébral où elles se situent. Ainsi, le nerf sciatique comporte deux racines lombaires (L4 et L5) et trois racines issues du sacrum (S1 à S3).

Les racines les plus souvent comprimées sont L5 et S1 :

La douleur d’une atteinte de la racine L5 prend son origine au niveau de la fesse, descend à l’arrière de la cuisse, passe sur le côté extérieur du genou puis de la jambe, sur la malléole externe au niveau de la cheville et peut se terminer sur le gros orteil.

La douleur d’une atteinte de la racine S1 prend, elle, son origine au niveau de la fesse et parcourt l’arrière de la cuisse, du genou et de la jambe, passe par le talon et finit sur le bord externe du pied jusqu’au 5e orteil.

La majorité des sciatiques d’origine radiculaire (90 %) sont provoquées par une hernie discale. D’autres causes sont également possible comme un rétrécissement du canal vertébral (canal lombaire étroit), un traumatisme (fracture vertébrale, tassement vertébral), l’arthrose… Cependant, une sciatique peut se manifester sans qu’aucune de ces causes ne soient révélées par les examens complémentaires (radio, IRM, scanner, etc.).

Syndrome tronculaire : Les rapports anatomiques peuvent expliquer le fait que certaines sciatiques puissent résulter d’une compression des muscles qui sont sur leur trajet.

Les muscles les plus souvent en cause sont le piriforme, l’obturateur interne et les ischio-jambiers.

Le muscle piriforme (ou syndrome du pyramidal) : La douleur se situe dans la fesse et dépasse rarement le genou. Souvent il n’y aucune douleur lombaire associée. La douleur du syndrome pyramidal est aggravée en position assise (notamment en voiture).

Le syndrome de l’obturateur interne : Il ressemble beaucoup au syndrome pyramidal à l’exception près que le muscle obturateur interne se situe un peu plus bas que le muscle piriforme.

Le « Hamstring Syndrome » ou Syndrome Purinen : Le nerf sciatique est irrité lors de son passage sous les muscles ischio-jambiers. Il est plus rare que les précédents et la douleur irradie, ici, en arrière de la cuisse. Elle est quasi constante en position assise et il y un dérouillage en passant à la position debout.
On retrouve ce syndrome essentiellement chez les sprinters mais aussi dans la pratique du football (souvent associé à une blessure antérieure au niveau de la même cuisse).

Pourquoi faire appel à un ostéopathe ?

Une sciatique, quand toutes pathologies sont écartées, peut être tout à fait due à des pertes de mobilités articulaires notamment au niveau des vertèbres lombaires et/ou du bassin.
Ces hypomobilités peuvent entraîner des tensions musculaires et ligamentaires inhabituelles et peuvent ainsi générer une sciatique par une compression ou une irritation du nerf sur son trajet.
Pour traiter une sciatique, l’ostéopathe partira à la recherche de la cause de celle-ci. Grâce à une anamnèse poussée où le patient décrira ses douleurs ainsi que les circonstances de survenue de celle-ci, l’ostéopathe pourra aisément identifier la ou les causes de la sciatique ainsi que le traitement utile à effectuer. Chaque traitement est différent et s’adapte entièrement aux besoins du patient ainsi qu’à ses antécédents.

Les ostéopathes ont une perspective que vous n’avez pas, puisqu’ils ont une approche holistique du corps entier, et non pas de la partie blessée uniquement. Cela veut dire qu’ils vont observer quelle est l’influence de l’ensemble de votre colonne vertébrale, de vos pieds, de vos genoux, de votre bassin etc sur la biomécanique d’ensemble de votre corps afin de vous donner les conseils les mieux adaptés concernant votre posture et les bons réflexes à avoir au quotidien.

Quelle prévention pour éviter les récidives et les sciatiques chroniques ?

  • L’activité physique régulière permet d’entretenir la souplesse et la force musculaire du dos et de l’abdomen. Les exercices doux, symétriques avec des étirements sont à privilégier (stretching).
  • En position assise prolongée, il est conseillé de faire des pauses et se lever régulièrement. Demandez une chaise adaptée ou ajoutez un coussin dans le bas du dos (Pensez-y pour la voiture !).
  • S’accroupir en fléchissant les genoux lors d’un port de charge, même léger (attention à la position lorsque l’on prend ses enfants dans les bras…)
  • Attention au surpoids et globalement à l’hygiène de vie.
  • Une très bonne prévention : l’ostéopathie !

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> D’autres thérapies ou outils pouvant vous libérer des sciatiques : l’acuponcture, les huiles essentielles, l’homéopathie, les étirements doux, le chaud (bouillotte)…

> Si en plus de la douleur ou à sa place apparait une paralysie de la jambe ou du releveur du pied, il est nécessaire de consulter au plus vite votre médecin généraliste.

Lutter contre les Migraines

Les bienfaits de l’ostéopathie contre le mal de dos ne sont plus à prouver, mais savez-vous qu’elle peut aussi être efficace dans le traitement des migraines ?

Qu’est ce qu’une migraine et comment la reconnaitre ?

C’est une douleur pulsatile (on sent les battements) touchant une zone précise du crâne et qui peut être associée à divers symptômes : Nausées, sensibilité à la lumière et/ou aux sons, irritabilité, etc…

Différentes zones peuvent être concernées :
– Migraines temporales : situées aux niveaux des tempes.
– Migraines ophtalmiques : douleur d’un oeil ou des deux.
Névralgies d’Arnold : cuir chevelu hypersensible, la douleur peut se propager jusqu’à l’oreille et au visage.
– Migraines cycliques : différentes localisations possibles, douleur apparaissant pendant la menstruation.

Cette liste est non exhaustive.

On distingue également plusieurs types de migraines.
* Les migraines communes qui sont battantes au même rythme que le coeur et se limitent à un seul côté. Elles peuvent être accompagnées de nausées, de vomissements, de sensibilité à la lumière ou aux sons, d’une irritabilité ou de troubles de la concentration…
* Les migraines accompagnées qui sont précédées, environ une heure avant d’apparaître, de signes annonciateurs comme une paresthésie (fourmillements) ou une paralysie temporaire.
* Les migraines ophtalmiques qui peuvent être associées à une perte partielle de la vue ou à une sensibilité à la lumière (photophobie).

Quelle est l’origine de ces migraines et comment l’ostéopathie peut aider ?

Il y a essentiellement 6 causes différentes des migraines.

La plus fréquente est l’origine vasculaire. Une veine ou une artère peut être comprimée et empêcher une bonne vascularisation de l’ensemble du crâne. L’ostéopathe va pouvoir, grâce à ses connaissances poussées en anatomie, rétablir une vascularisation harmonieuse à l’aide de techniques crâniennes.

Dans le cas de la névralgie d’Arnold, la douleur est provoquée par la compression d’un nerf, le grand occipital. Cette irritation du nerf peut apparaitre spontanément ou suite à un traumatisme (accident de voiture ou chute par exemple). La douleur est souvent vive et irradie vers la face. L’ostéopathe va alors utiliser des techniques douces pour libérer le nerf de ses blocages articulaires, musculaires et tissulaires.

Il est aussi possible qu’un blocage articulaire soit responsable des migraines. Une vertèbre dorsale ou cervicale qui ne bouge pas correctement perturbe obligatoirement la vascularisation et l’innervation qui lui est associée.
Le blocage articulaire n’est pas toujours douloureux, le travail de l’ostéopathe est donc de le retrouver et de le relâcher ainsi que les tensions musculaires et perturbations vasculaires qu’il peut engendrer.

Le stress est aussi une grande cause de migraine. Globalement le facteur émotionnel joue un rôle très important. Que ce soit de grandes contrariétés ou une accumulation de petits tracas, un blocage émotionnel, même ancien, peut être le responsable de vos migraine actuelles.
Le rôle de votre ostéopathe est de vous faire retrouver l’équilibre et l’harmonie de votre corps, mais aussi de l’esprit, les deux étant indissociables !

Le dérèglement hormonal peut être également mis en cause.
On parle alors de migraines menstruelles ou cycliques chez la femme. Mais le désordre hormonal est aussi possible chez l’homme et peut être investigué tout autant par votre ostéopathe.

Les migraines peuvent être aussi dues à une alimentation inadaptée. En effet certaines personnes peuvent être intolérantes à de nombreux aliments, ou manquer de micro-nutriments (magnésium, fer, vitamines…). L’ostéopathe peut alors vous aider en manipulant la sphère viscérale et/ou en vous redirigeant vers un professionnel pour une alimentation plus adaptée à vos besoins.

Tous ces facteurs peuvent être pris séparément ou s’associer rendant alors les migraines parfois plus longues à traiter.

En quoi le traitement ostéopathique est efficace ?

En fonction des symptômes décrits par le patient, il faut en général entre une à trois séances espacées de trois semaines.
Les séances sont souvent plus efficaces lorsque la cause de ces migraines est un traumatisme (accident de voiture ou chutes). Quand l’origine est hormonales c’est parfois plus difficile et plus long… mais jamais impossible !

L’ostéopathie mais pas que !

L’approche ostéopathique permet donc souvent d’éviter les récidives d’épisodes migraineux ou permet, du moins, de les espacer considérablement.
Il peut être cependant nécessaire d’utiliser une approche pluridisciplinaire dans certains cas. Votre ostéopathe pourra alors vous rediriger vers d’autres professionnels de santé : diététicienne, psychologue ou neurologue en accord avec votre médecin traitant.

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> La position assise prolongée est la reine des migraines, surtout quand elle est associée aux tensions lumineuses d’un
écran allumé du matin au soir.

> En cas de fortes migraines suivant les 48h d’un traumatisme, il est nécessaire de consulter votre médecin traitant ou les urgences.

 

Troubles sexuels

Absence ou diminution de la libido, troubles de l’érection, douleur pendant l’acte sexuel… Pour certaines personnes souffrant de troubles sexuels, l’ostéopathie peut se révéler bénéfique. 

Ostéopathie et sexualité, quel rapport ?

L’ostéopathie est une thérapie manuelle qui prend en charge l’individu dans sa globalité. Or, les troubles sexuels sont souvent liés à un désordre fonctionnel qui va être exprimé par le corps. Quand le médecin a écarté toute composante pathologique, l’ostéopathe peut alors intervenir pour évaluer les zones de blocage.
L’objectif du praticien est de restaurer par des manipulations et mobilisations musculo-squelettiques variées, directes ou indirectes, la bonne mobilité corporelle nécessaire à une vie sexuelle satisfaisante. Toutes les techniques mises en oeuvre sont manuelles et externes.

Une aide pour les femmes…

Certaines femmes ont des douleurs qui surviennent soit lors de la pénétration, soit durant l’acte. Ces douleurs que l’on regroupe sous le nom de dyspareunies peuvent être très importantes et amener le couple à interrompre ses ébats.
Les causes sont très variées : La grossesse et l’accouchement, les cicatrices chirurgicales (épisiotomie, césarienne, hystérectomie, appendicectomie…), une malposition de l’utérus ou des ovaires, une constipation persistante, etc... Dans tous les cas de figure, les techniques ostéopathiques, douces et adaptées, permettent de redonner une mobilité naturelle au bassin afin de réharmoniser la région pelvienne.

Il est aussi parfois impossible pour certaines femmes de faire l’amour. On parle alors de vaginisme qui est un dysfonctionnement sexuel assez fréquent.
Il se traduit par une contraction involontaire : c’est le resserrement réflexe des muscles du plancher pelvien (muscle entourant le vagin) qui se produit lorsqu’il y a tentative d’insérer un objet dans le vagin (tampon, spéculum, pénis, etc.). Cette contraction peut rendre la pénétration impossible (le vagin étant alors totalement clos) ou possible mais très douloureuse.
Une fois un bilan gynécologique effectué, l’ostéopathe peut alors travailler sur l’hypertonicité du plancher pelvien. La patiente est d’une grande aide lors de la réalisation de ces techniques car elle va pouvoir apprendre à contracter et décontracter volontairement son vagin ce qui va permettre d’obtenir des résultats plus rapides, de prendre confiance en elle et de retrouver une sexualité épanouie.

L’ostéopathie concerne également les femmes qui ne parviennent pas à atteindre l’orgasme. Là encore, l’ostéopathe va chercher à retrouver la mobilité intrapelvienne en travaillant sur tout le bassin, mais il va aussi travailler au niveau du crâne. Effectivement, en cas d’anorgasmie, l’ostéopathie crânienne va permettre une diffusion de l’énergie à l’ensemble du corps, d’où un sentiment de bien-être général menant à l’abandon de soi.

… Mais aussi pour les hommes ! 

Troubles de l’érection ou éjaculation précoce ? Lorsque aucune raison organique à ces problèmes n’est détectée, bien souvent, c’est un état de contraction générale dû au stress ou à la fatigue qui est en cause.
L’accompagnement ressemble à celui de la femme avec des mouvements de contraction, relâchement et des étirements. Lors de trouble d’éjaculation prématurée, l’ostéopathe va travailler la zone périnéale afin de libérer les ligaments et les muscles qui peuvent bloquer le bassin.  Une fois la mobilité retrouvée, l’homme est plus à même de gérer son excitation.
L’approche ostéopathique est la même pour les troubles de l’érection à la différence que les techniques sont souvent plus orientées vers des mobilisations de la colonne vertébrale.

L’ostéopathe peut aussi être amené à travailler sur d’éventuelles adhérences (des tissus fibreux qui relient anormalement deux organes entre eux). Par exemple après une opération de l’appendicite qui aura entraîné des adhérences jusqu’à la vessie ou la prostate ce qui peut engendrer des répercussions notables sur l’érection ou l’éjaculation.

Il arrive aussi que le trouble soit simplement passager et lié à une anxiété de performance qui empêche une érection suffisante. Le thérapeute va alors utiliser des techniques crâniennes et viscérales ce qui va permettre de rétablir une harmonie entre l’état physique et l’état psychique du patient. Cette mobilisation, renforcée par des exercices de respiration, suffit généralement pour repartir sur de nouvelles bases plus prometteuses.

Et pour la libido ?

Ça marche… lorsque l’absence ou la diminution de libido résulte d’une grosse fatigue. En cause : le foie, tiraillé en raison d’un blocage au niveau d’un de ses points d’ancrage. On a toujours plus de mal à récupérer s’il fonctionne au ralenti car il est responsable de la synthèse du tryptophane (un acide aminé important pour le sommeil). Dans ce cas, la libido se trouve reléguée au rang des non-priorités et l’aide de l’ostéopathe peut être nécessaire pour redonner au foie sa pleine mobilité.

On n’oublie pas le côté émotionnel.

L’ostéopathe considère l’être humain comme un tout, un ensemble dont la structure, les fonctions organiques, le cerveau et l’esprit sont réciproquement interdépendants.

On connait l’importance du lâcher-prise physique et psychique pour pouvoir s’abandonner à l’autre dans l’intimité sexuelle et pour ressentir du plaisir. Il est donc nécessaire d’apprendre à se reconnecter avec son intimité et à se réapproprier ses sensations pour pouvoir lever tous les blocages physiques et retrouver son épanouissement. Le patient reste le principal acteur de sa santé et de son bien-être.
Il est alors parfois nécessaire d’avoir recours à un suivi psychologique et/ou sexuel.

Notons donc qu’il convient avant toute chose de commencer par apprendre à bien se connaître pour guider et vous faire guider par votre partenaire.

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> Attention, la thérapie n’est pas indiquée si des interventions ont endommagé le nerf érecteur (en cas de chirurgie de la prostate pour un cancer, par exemple).

> Ostéopathie et fertilité : Ovulation, fécondation et nidation dépendent de facteurs locaux sur lesquels l’ostéopathe peut intervenir. Pour cela, il agit sur la vascularisation des organes génitaux et leur positionnement dans le bas-ventre.

> Il peut être nécessaire de consulter votre médecin afin d’écarter toute composante pathologique.

 

Burn-out

Le syndrome de burn-out est désormais connu du grand public notamment parce qu’il fait de plus en plus de victime. Appelé aussi « syndrome d’épuisement professionnel », il désigne un état de fatigue émotionnel, mental et physique caractérisé par un manque de motivation et de performance après des mois voir des années de surmenage. Optez pour l’ostéopathie pour contrer ce cercle vicieux ! 

Comment reconnaitre un burn-out ?

Le syndrome d’épuisement général est généralement décrit comme passant par différentes phases :

  • Première phase : la phase d’alarme

Cette phase se caractérise par une période de stress et nervosité chronique. Elle peut s’étaler sur plusieurs mois et va produire des pathologies physiques bien connues telles que : lombalgie, torticolis, douleurs … Pathologies qui peuvent être traitées par ostéopathie.

  • Deuxième phase : la phase résistante

Comme son nom l’indique, c’est une période où on va tenter de résister et donc s’accommoder à ce stress chronique et aux douleurs qui le caractérisent. A ce moment là, la personne ne voit pas le burn-out s’installer. C’est une phase de déni durant laquelle l’individu entretiendra les problèmes physiques déjà cités lors de la phase d’alarme.

Selon les personnes touchées par le stress, cette phase de résistance peut soit tout remettre en ordre naturellement ou alors entraîner la troisième phase, le stade de rupture.

  • Troisième phase : la phase de rupture

L’épuisement est général ce qui va augmenter les symptômes ainsi que les douleurs. Durant cette phase, il est vivement conseillé de consulter son médecin traitant.

  • Quatrième phase : LE BURN-OUT

L’ensemble de l’individu est touché que ce soit au niveau physique, émotionnel ou psychique.

L’équilibre du corps est déstabilisé provoquant chez le patient de l’agitation, de l’irritabilité, des perturbations du sommeil ainsi que des troubles de l’humeur. La récupération est difficile voir impossible avec un fatigue matinale souvent très importantes.
Certaines expressions comme « je n’en peux plus », « je suis vidé », « je suis au bout du rouleau », peuvent manifester un état de fatigue important et mettre sur la piste du burn-out.

Vers quelles solutions se tourner ?

Aujourd’hui la prise en charge du burn-out est pluridisciplinaire. Il est primordial de se rapprocher de son médecin généraliste et d’alerter son entourage personnel et professionnel afin de pouvoir trouver des solutions pour commencer à parer aux problèmes de stress et d’améliorer la qualité de travail.

La vision holistique de l’ostéopathie, quant à elle, peut être une réponse complémentaire au domaine médical. L’ostéopathie permet de mieux se connaitre, d’essayer de maîtriser ses émotions, sa nutrition, d’appréhender le fonctionnement de son corps pour anticiper tant bien que mal les tensions engendrées et les phases de stress intense.

L’acuponcture, la réflexothérapie ou l’hypnose sont des médecines alternatives pouvant également être d’une grande aide sur le chemin de la guérison.

Que peut-faire mon ostéopathe pour soulager le stress?

Dans la majorité des cas, les patients consultant un ostéopathe sont déjà dans la deuxième, voir la troisième phase du stress. Sans savoir que leurs maux proviennent du stress, les patients souhaitent consulter un ostéopathe pour soulager leurs troubles digestifs, leurs problèmes de dos, leurs torticolis, leurs douleurs aux cervicales…

Face à la gestion du stress et au soulagement de ses maux, le travail de l’ostéopathe consiste à réguler de façon naturelle le système neurovégétatif  du patient en le rééquilibrant. Dans les faits, c’est ce système qui est, dans la plupart des cas, à l’origine des symptômes liés au stress.

Les techniques appliquées sont adaptées au profil de chaque patient. Pour soulager les symptômes liés au stress, il est conseillé de consulter son ostéopathe sur plusieurs séances afin de traiter l’ensemble du corps en profondeur.

Il faut tout de même préciser que l’ostéopathie va permettre au patient de soulager son stress et les douleurs associées, mais il est important de savoir que le moindre traumatisme ou choc pourra potentiellement entraîner une nouvelle apparition des troubles.

Pour des résultats positifs sur le long terme, il est nécessaire de suivre les conseils de l’ostéopathe, en effet une forte tension au travail pourrait annuler et détruire tout le travail déjà réalisé.

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>Les cas de burn-out n’ont de cesse de se multiplier. En effet personne n’est épargné, quelque soit la profession, chacun peut être touché à n’importe quel moment de sa vie.

> Un suivi psychologique est vivement conseillé, parlez-en avec votre médecin.

Troubles du sommeil

Nous passons environ un tiers de notre vie à dormir. Le sommeil est un plaisir pour certains et pour d’autres un vrai cauchemar. Il reste néanmoins un besoin vital pour tout le monde. Lorsque le sommeil est perturbé, cela peut engendrer un impact négatif sur l’état physique et psychique de l’individu, quelque soit son âge. 

Environ 32% des français souffrent de troubles du sommeil. Or, l’équilibre et la bonne santé de l’individu ne sont pas possibles sans un bon sommeil.

Comment se déroule une bonne nuit de sommeil ?

Le sommeil se compose de plusieurs cycles (3 à 5) de 90 minutes qui vont se succéder au cours d’une nuit. Un cycle peut être divisé en quatre stades :

  1. L’endormissement : la respiration ralentit, les muscles se relâchent, la conscience diminue.
  2. Le sommeil lent léger : un bruit ou une lumière suffisent pour se réveiller.
  3. Le sommeil lent profond : phase très importante,  tout l’organisme est au repos, c’est le moment où l’on récupère de la fatigue physique accumulée.
  4. Le sommeil paradoxal : l’individu présente à la fois des signes de sommeil très profond et des signes d’éveil. C’est durant cette phase que se font les rêves.

En début de nuit, on trouvera plutôt un stade lent profond alors qu’en fin de nuit on aura une majorité de stade paradoxal.

Quels sont les troubles du sommeil les plus fréquents ?

  • L’insomnie : difficulté à s’endormir sans raison apparente
  • Les parasomnies : cauchemars, somnambulisme, éveil confusionnel, terreurs nocturnes, bruxisme…
  • Le syndrome des jambes sans repos : sensation très désagréable dans les jambes qui obligent à se lever et à bouger
  • Les apnées du sommeil : arrêts respiratoires qui peuvent survenir plusieurs fois par nuit avec luttes respiratoires qui morcellent le sommeil

Notre cerveau nous impose plusieurs heures de sommeil par jour. Il ne permet pas seulement de récupérer de la fatigue physique mais joue aussi un rôle essentiel dans le développement cérébral. Il intervient également dans la régulation de certaines fonctions métaboliques. Par conséquent, un individu qui souffre de troubles du sommeil développera également d’autres troubles physiques et même psychiques.

Quelles sont les conséquences du manque de sommeil sur notre organisme ?

Les troubles du sommeil peuvent avoir des conséquences assez variées d’un individu à l’autre :

  • Troubles digestifs
  • Prise de poids
  • Irritabilité
  • Stress
  • Migraines
  • Dépression
  • Troubles de la vigilance
  • Troubles de l’apprentissage…

En quoi l’ostéopathie peut-elle m’aider à bien dormir ?

L’ostéopathie va permettre de déterminer si les troubles du sommeil sont dus à un blocage ou une dysfonction. En fonction du résultat, l’ostéopathe va pouvoir agir sur ces tensions et les éliminer à l’aide de manipulations ciblées.

Il est intéressant de savoir que les troubles du sommeil sont souvent causés par un dysfonctionnement du système nerveux autonome. Ce système est chargé de réguler les fonctions autonomes du corps que sont  la respiration, la digestion et les cycles veille/sommeil. L’intérêt de l’ostéopathie est qu’elle va pouvoir agir sur ce système et le rééquilibrer, à l’aide de techniques crâniennes par exemple.

Une fois les tensions musculaires supprimées et l’équilibre rétabli, la qualité du sommeil devrait s’améliorer de façon durable.

Une bonne hygiène de vie et un bon environnement sont également nécessaires pour guérir vos troubles du sommeil :
– Avoir des horaires réguliers de coucher et de lever
– Éviter la consommation de produits excitants dès le debut de soirée (café, thé noir, soda…)
– Éviter une activité physique trop tardive
– Éteindre les écrans au moins une heure avant d’aller se coucher
– Éviter les repas trop copieux le soir ainsi que les encas sucrés

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> Deux examens médicaux permettent au médecin de diagnostiquer les troubles du sommeil : la polygraphie respiratoire et la polysomnographie.

Il faut compter 2 ou 3 séances pour voir une nette amélioration de la qualité des nuits et retrouver peu à peu un sommeil réparateur. Mais les effets de l’ostéopathie peuvent déjà se faire ressentir dès la première séance.

> L’acuponcture et la réflexologie plantaire sont également des médecines alternatives ayant fait leurs preuves dans la diminution des troubles du sommeil.

Pourquoi le quatre pattes est une étape importante de la croissance ?

La plupart des bébés apprennent à marcher à quatre pattes entre l’âge de 6 à 10 mois. Mais certains bébés ne passeront pas par cette étape. Ils préféreront se traîner sur les fesses, glisser sur le ventre ou directement se hisser, se tenir debout et se mettre à marcher. Pourtant la marche à quatre pattes est une étape importante du développement psychomoteur de l’enfant.

Développement moteur du nourrisson

Si votre enfant à un développement typique, il est alors passé par ces différents stades :

  • Bébé roule pour se retourner = Mouvement de l’axe vertébral, de la tête au coccyx
  • Bébé pousse sur les deux bras pour lever la tête, ou donnent des coups de pieds avec les deux jambes = Mouvement haut/bas
  • Bébé rampe sur le ventre = Mouvement côté/côté qui coordonne le bras et la jambe du même coté.

La suite logique est l’association de ces 3 mouvements qui permet à l’enfant d’avancer en diagonale c’est-à-dire en croisant les côtés : C’est l’apparition de la marche à quatre pattes. L’enfant peut alors bouger comme il veut dans les 3 dimensions et finir par acquérir la verticalité complète et donc à marcher.

Parfois l’enfant continue le quatre pattes après la maîtrise de la marche. Parfois il est possible qu’il saute le mouvement diagonal, se mette debout et revienne plus tard au sol. On peut peut-être y voir un signe que ce mouvement a une certaine valeur, et que ne pas y passer du tout pourrait y laisser un manque source de futurs problèmes d’apprentissage, d’attention, de coordination.

Qu’est-ce qui rend la marche à quatre pattes si importante ?

Et bien tout simplement parce qu’elle est essentielle au développement du cerveau.

La marche à quatre pattes implique que les membres des côtés opposés bougent ensemble. Le mouvement se fait en diagonale à travers le corps; le bébé cherche à aller vers l’avant avec une main et la jambe du côté opposé suit le mouvement initié. Ces gestes croisés activent donc à part égale les hémisphères droit et gauche du cerveau.
Le quatre pattes fait travailler les deux parties du corps simultanément et induit alors la coordination motrice des deux yeux, des deux oreilles, des deux mains et des deux pieds mais aussi la musculature de l’axe central (colonne vertébrale). Avec une activité aussi importante et équitable, le corps calleux qui est une structure située au milieu des deux hémisphères cérébraux, se développe plus pleinement !

Quel est l’impact réel sur la croissance de mon enfant ?

Le corps calleux, situé donc entre les deux hémisphères cérébraux, est une voie neurale très importante. Il est constitué de tout un tas de faisceaux de fibres nerveuses. Ces dernières permettent le passage de l’information et par conséquent la communication entre les quatre lobes qui constituent les hémisphères cérébraux. Le mouvement diagonal établit par la marche à quatre pattes induit donc un mouvement diagonal des informations dans le cerveau. Les deux hémisphères et les quatre lobes qui les constituent sont activés, la fonction cognitive est alors améliorée et l’apprentissage devient plus facile.

Le quatre pattes permet donc une meilleure construction de la motricité fine et globale mais aussi la coordination oeil-main qui est indispensable pour pourvoir lire et écrire.

Il n’est pas rare, en effet, de retrouver des troubles de l’apprentissage chez des enfants ayant « sauté » la marche à quatre pattes : dyspraxie, dyslexie, TDAH, dysplasie, dystrophie…

Que peut faire mon ostéo ?

L’interêt premier est à la prévention. Le suivi ostéopathique régulier facilite le travail de l’ostéopathe qui peut alors travailler sur les petites tensions accumulées dans le corps de bébé et lui permettre une totale liberté dans l’apprentissage de ses mouvements.

Si bébé ne veut pas faire de quatre pattes ou qu’il marche déjà en ayant sauté cette étape, pas de stress ! Votre ostéo connait plein de petites astuces, de jeux, de façons amusantes qui pourront permettre de l’aider à trouver les bénéfices du quatre pattes avant même qu’il apprenne à lire ou à écrire.

Il est aussi utile de savoir que les bénéfices ne sont pas accessibles qu’aux bébés ! Recréer la marche à quatre pattes peut avoir des effets considérables pour les enfants de tous âge, pour les adultes qui souhaitent résoudre un problème ou augmenter leur potentiel cérébral, et même pour les gens qui ont des troubles moteurs ou qui ont eu un AVC !

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Une séance ostéopathie annuelle est recommandée pour chaque enfant tout au long de sa croissance.


>L’ostéopathe, en suivant le développement de votre enfant, peut jouer un rôle clé dans sa santé. Il est à noté cependant que l’ostéopathie ne remplace en aucun cas le pédiatre ou le médecin généraliste.

>La motricité libre est essentielle. Chaque enfant doit suivre son propre rythme de croissance, ses propres expérimentations. Il ne faut en aucun cas le forcer. Les youpalas et les trotteurs sont donc à proscrire afin que bébé se constitue seul sa musculature et ses propres appuis au fur et à mesure de sa croissance.

Endométriose

Peu connue du grand public, l’endométriose est pourtant une maladie réelle touchant environ deux millions de françaises. Elle provoque des souffrances pendant les règles, les rapports sexuels ou parfois même au quotidien. Elle peut être également la cause d’infertilité.

Oui, mais qu’est ce que c’est exactement ?

L’endométriose est une pathologie chronique, bénigne. Elle se caractérise par l’implantation et le développement de cellules endométriales (normalement situé dans l’utérus) dans le péritoine pelvien, sur les ovaires, trompes et parfois même dans le tube digestif.

Les examens cliniques permettant le diagnostic peuvent être longs et invasifs. Il faut parfois jusqu’à 6 ans pour pouvoir être officiellement diagnostiquée.

L’endométriose est une maladie réelle qui peut donc porter atteinte à la fois physiquement et mentalement. Toujours douloureuse et parasitant la vie des femmes, il s’agit dorénavant de trouver des solutions pour soulager au mieux les symptômes.

Le traitement classique se fait à base d’anti-inflammatoires, de substituts hormonaux, d’une mise en place d’une ménopause artificielle ou de chirurgie. Ajouté à cela, les douleurs sont traitées avec des médicaments contenant des opiacés (ex: Lamaline, Ixprim).

Les médecines naturelles et alternatives, comme l’ostéopathie, proposent des traitements complémentaires ayant pour but principal de traiter la cause de l’endométriose.

L’ostéopathe va donc chercher à supprimer la douleur avant tout, mais aussi à restituer la mobilité, libérer les adhérences, retrouver un cycle physiologique et permettre une meilleure circulation des fluides de l’organisme.

Quel est le traitement ?

Le traitement est plus facilement réalisable en milieu de cycle car il sera alors moins douloureux. Evitons donc les séances juste après la fin des règles.

Le traitement de l’endométriose s’inscrit dans un parcours de santé complet. L’ostéopathie n’a pas pour vocation de remplacer le traitement classique prescrit par votre médecin, c’est simplement une aide complémentaire face à la maladie.


>Si vous souffrez de cette pathologie vous pouvez vous tourner également vers d’autres méthodes non médicamenteuses comme la mésothérapie, l’acuponcture, la sophrologie, la méditation, le yoga, le Tai-Chi…

>De nombreuses associations spécialisées dans l’endométriose se sont mises en place au cours de ces dernières années, n’hésitez pas à vous rapprocher de l’une d’entre elles.